MARIAGE : "ET SI CE N'EST PLUS MOI QUI VIS ?"
- Daughters love The Truth

- 11 juil. 2021
- 35 min de lecture
Dernière mise à jour : 22 févr. 2022
Et si nos croyances n'étaient pas correctes ? Et si nous nous y prenions mal ?

"Et je suis crucifié avec Mashiah. Et si je vis, ce n'est plus moi qui vis, mais c'est Mashiah qui vit en moi. Si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils d'Elohîm qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi. Galates" 2:20
Du fait que l'engagement du mariage soit scellé par un acte physique, qui devient ensuite une pratique consentie et courante dans la relation conjugale, certains ont l'impression de quitter le domaine spirituel pour revenir dans le domaine charnel. De ce fait, ils pensent que leur action dans le mariage ne relève plus que de leur propre initiative, comme si, quand il en vient du foyer et de la vie conjugale nous arrêtions de penser et d'agir par L'Esprit de Yehoshoua, qui Lui est censé régner sur la nouvelle créature que nous sommes. Ainsi, découlent des interprétations erronées des écritures et des incompréhensions qui minent beaucoup de couples de "chrétiens", qui n'ont pas saisi que notre identité de disciple de Yéhoshoua prévaut (Luc 2 : 43-49 à méditer) sur tout le reste et donc que l'Esprit de Yehoshoua qui est en nous ne se soumettra jamais à l'homme charnel qui demeure son ennemi. Bien que marié, il s'agit donc dans tous les domaines de mener des actions spirituelles sous la direction de l'Esprit afin d'accomplir la volonté d'Elohîm. Le mariage ne rend pas caduc l'Esprit de Yehoshoua en nous.
À ceux qui sont dans les assemblées mais qui n'ont pas encore la mentalité de la nouvelle Jérusalem, qui n'ont pas encore embrassé sa culture. Hommes comme femmes sont concernés, eh oui, être une femme n'est pas gage d'une bonne santé morale ou d'avoir la pensée d'Elohîm en matière de mariage ou de tout autre sujet d'ailleurs. Et malheureusement, ces femmes qui sont censées aider d'autres, sont les premières victimes de leur mode de pensée et des "fausses croyances" qu'elles ont à ce propos, parce que souvent, elles ne sont pas, elles mêmes heureuses avec la pratique des conseils qu'elles prodiguent à d'autres.
Arrêtons de penser qu'une femme mariée n'a que des devoirs et des obligations et pas de droits, ou peut être, qu'elle a plus de devoirs et d'obligations qu'elle n'a de droits. Que la Bible (La Parole de Yehoshoua, l'Epoux par Excellence) légitimise qu'elle soit marginalisée, minimisée et considérée comme appartenant à une caste inférieure. Que son utilité soit autant qu'un meuble est emmené à l'être dans un intérieur, c'est à dire à meubler, orner, en ayant un bout de place en arrière ou en premier plan, selon que son "souverain" de mari veut bien le lui accorder, dans cet espace qui est à "lui seul" !
Arrêtons de penser qu'elle est dénuée de volonté et d'initiative, comme si, sa communion avec le Saint Esprit était intérrompue après son mariage pour être remplacée par la relation avec son mari, et donc, tel du mobilier, elle ne peut être en mouvement que sur la seule initiative souveraine de celui-cui.
Arrêtons de penser que, sa relation avec Elohîm et sa croissance spirituelle ne sont possibles qu'au travers de celle de son mari. Ce qui impliquerait que si son mari est un bébé dans la foi, elle, ne peut pas être plus affermie/mature, plus discernante, et avoir plus de connaissance sans que cela ne soit taggé d'insoumission. Cela lui serait interdit, parce qu'elle est censée être le non-sachant du couple et que son mari est le sachant (en référence erronée d'ailleurs à 1 Corinthiens 14 : 35). S'il ne sait pas, elle ne doit pas savoir, parce qu'il doit toujours connaître plus qu'elle, c'est lui qui doit l'enseigner et pas le contraire !
Cela voudrait dire que, seul l'homme est appelé avoir l'identité de fils, c'est à dire à ressembler à Yehoshoua. Ainsi, les maris sont (déjà) ressemblant en tout point à Yehoshoua et donc à l'image de celui-ci, sont déjà sauvés, seules les femmes sont à sauver, à l'image de l'Eglise. Et donc, le Saint Esprit que les femmes ont reçu, leur a été communiqué dans une moindre mesure que celui que les hommes ont reçu, et si le mari ne joue pas son rôle d'enseignant pour sa femme, elle restera ignorante.
Ainsi, le Saint Esprit qui est l'enseignant par excellence (1 Jean 2 : 27) n'enseigne pas les femmes, seulement leur mari. Que Yéhoshoua et le Père selon Jean 14 : 23 ne viennent pas faire leur demeure dans les femmes seulement dans les hommes ; ainsi, celles qui ne sont pas mariées ne sont pas enseignées par l'Esprit, ou peut être qu'elles ne sont enseignées que par le "Pasteur" de l'assemblée locale, ou peut être, après leur mariage, le Saint Esprit arrête de les enseigner pour laisser leur mari le faire ???
Est-ce cela que les écritures nous enseignent ?
Arrêtons de penser que, parce qu'il est écrit que le mari est le chef de la femme comme le Mashiah est celui de L'Eglise et qu'elle doit le servir comme telle, cela veut dire qu'il devient le Mashiah pour elle, mais non ! il n'est pas mort pour elle !!! C'est pourquoi, cela ne veut pas dire, que son mari à la même place que le Mashiah ou encore qu'il vienne remplacer le Mashiah dans la vie de cette femme, et surtout pas que le Saint Esprit dans une femme n'a vocation qu'a servir son mari, qui est devenu "Elohîm" pour elle.
La Bible n'est pas qu'une suite de versets, c'est Yehoshoua Lui même, il n'y a donc aucune contradiction, aucune once de confusion. L'Esprit de Yehoshoua en nous est la plénitude de ce qui est écrit, et c'est lui qui nous fait saisir le sens, qui nous fait comprendre ce qui n'est pas écrit littéralement et la profondeur de ce qui est écrit littéralement.
À entendre beaucoup, les écrits sont une chose et l'Esprit Saint en est une autre. Seulement, l'Esprit est la source des écrits, c'est pourquoi sans l'Esprit ce ne sont que des mots qui ont une connotation religieuse. Donc, cet Esprit est celui qui vit dans les vases que nous sommes, hommes comme femmes, et dans la même proportion, parce qu'il n'y a pas un Esprit de Yehoshoua pour les femmes et un autre pour les hommes. C'est pourquoi, l'homme et la femme peuvent être un, parce que c'est le même Esprit qui est en chacun d'eux.
Où se trouve la difficulté ?
"Or je voudrais que vous soyez sans inquiétude. Celui qui n'est pas marié s’inquiète des choses du Seigneur, et de la manière dont il plaira au Seigneur.33 Mais celui qui est marié s’inquiète des choses de ce monde, de la manière dont il plaira à sa femme,34 il est partagé. Il y a de même une différence entre la femme mariée et la vierge : celle qui n'est pas mariée s’inquiète des choses du Seigneur, afin d'être sainte de corps et d'esprit. Mais celle qui est mariée s’inquiète des choses du monde, de la manière dont elle plaira à son mari.35 Or je dis cela pour votre propre avantage, non pas pour jeter sur vous un nœud coulant, mais en vue de ce qui est honorable, ET AFIN QUE VOUS SOYEZ DÉVOUÉS AU SEIGNEUR, SANS DISTRACTION". 1 Corinthiens 7:32-35 (BYM)
Souvent ceux qui viennent "aider", "conseiller" "les couples leur disent, :"femme soit soumise, femme fais ceci, fait cela pour ton mari", "mari, aime ta femme... fait ceci fait cela à ta femme", "pensez à votre famille", "pensez à vos enfants". Il s'agit toujours de vous ramener l'un à l'autre, comme si vous deveniez la solution. Cette façon de faire est superficielle, car si l'homme ou la femme ne fait pas ce qu'il faut, cela ne suffira pas de leur prodiguer des conseils. Ce n'est pas au niveau de l'un et de d'autre du couple comme si, si je suis agréable à mon mari ou à ma femme cela suffit. Mais plutôt, de la relation de chacun avec le Seigneur, c'est ça la clé !
Lorsqu'on entend mariage, on pense que les mariées doivent désormais se concentrer sur l'un et l'autre et que le Seigneur ne devient plus qu'une sorte de vieux sage vers qui on peut ou pas aller pour avoir (que) des conseils avisés. Et souvent sur la base se ce passage 1 Corinthiens 7 : 4, l'on pense même qu'ils ont le droit de se contrôler et de faire ce qu'ils veulent avec le corps de l'autre. Et même d'autres pensent que le mariage nous exempt de développer le fruit de la maitrise de soi, en référence à 1 Corinthiens 7 : 9.
À savoir que notre mauvaise compréhension/interprétation des écritures se résulte au mauvais état de notre coeur. Si nous ne mourons pas nous l’interprèterons toujours avec les penchants qui sont dans la chair et donc qui conforte l'homme charnel.
Pour revenir au sujet, nous sommes continuellement encouragés à satisfaire et à plaire à elle ou à il comme solution au bien être, à la paix et à la stabilité du couple et, c'est la même chose lorsqu'il y a des problèmes, mais souvent, c'est en faveur du mari :"femme la bible dit, par ton attitude, tu peux gagner ton mari...". On a tellement eu l'habitude d'interpréter les écritures dans ce sens que, ce que les gens comprennent, est que pour être agréable au Seigneur une épouse doit satisfaire son mari, et de même pour l'époux, sa femme. Du coup un mari peut se donner le droit de penser que si, lui, n'est pas satisfait de sa femme, le Seigneur aussi ne l'est pas. Comme si, maintenant qu'ils sont mariés, la personne à plaire pour avoir le Salut c'est le mari (ou dans la minorité des cas, la femme). Cependant, La SEULE personne à plaire reste Yéhoshoua, l'Epoux, celui à qui hommes et femmes sont mariés pour L'éternité. Et c'est de cela que l'Apôtre Paul a tenté de nous mettre en garde dans ce passage de 1 Corinthiens 7:32-35 .
Ainsi nous finissons par croire que l'on peut se passer du Mashiah pour avoir un foyer en paix et harmonieux ou on ne se dispute pas les rôles et où tout s'emboîte parfaitement. Il suffit pour la femme de satisfaire son mari et vice versa. Mais, les relations intimes réguliers n'y feront rien, les plats copieux n'y feront rien, et tous les tricks que les gens dégainent comme solution ultime au pire du pire. En effet, la plupart des conseils, ne sont en faite que le résultat de ce qui doit être, et non le moyen, le moyen étant Le Seigneur Lui même. S'il ne S'est pas saisi de notre coeur, si ce n'est pas Lui qui vit, nous n'arriverons à rien. Et souvent d'ailleurs cela démontre que cette notion de "ce n'est plus moi qui vis, mais Mashiah" en référence à Galates 2:20 est très mal assimilée et donc très peu expérimentée au sein du foyer.
On ne sauve pas son âme en se mariant et donc en satisfaisant aux "quatre volontés de son mari", mais plutôt en obéissant au Seigneur. Et, l'obéissance au Seigneur pour une femme (mariée) n'est pas liée qu'a son action dans le foyer, ou à faire TOUT ce que son mari souhaite !!! Avant d'être marié elle appartenait au Seigneur, après s'être mariée aussi !!! Son mari peut désirer des choses qui ne sont pas agréables au Seigneur, devra-t-elle pour autant désobéir au Seigneur pour obéir à son mari, en vu de la soumission qu'elle lui doit "comme au Seigneur" ?!!
Le fait est que des gens dans les assemblées vont enseigner d'autre à faire comme eux sur la base de pratiques qui ne les rendent pas eux-memes heureux, et c'est normal, puisque les façons que nous avons eu l'habitude de faire ne satisfont pas la justice d'Elohîm en matière d'équité, mais aussi, d'amour, de bienveillance et/ou surtout de la vie par l'Esprit. On prépare donc les gens au divorce plus qu'à autre chose. Et on s'étonne qu'il y ait très peu de couples heureux et en harmonie (selon Yehoshoua), la majorité ne fait que "sauver le témoignage" en feignant aux yeux de ceux qui ne voient qu'a l'apparence, que leur couple va bien.
C'est parce qu'en surface cette façon de comprendre les choses, avec la position de la femme dominée par l'homme et reléguée à un rôle de sous-fifre (qui est d'ailleurs le résultat de la malédiction suite à la désobéissance), semble être celle que Sa Parole nous enseigne, mais ce n'est que de façade. Car, bien que l'apôtre Paul a donné des instructions, cela n'insinue pas comme certains (des personnes non éclairées) aiment à le dire, que la Parole de YHWH se contredit et qu'elle manque à prendre clairement position sur certains sujets ; faisant alors croire à ce propos que "la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen" mise en place par des humains, en stipulant que tous les hommes naissent égaux, est plus juste à cet égard, que le Seigneur qui Lui-même les a créés. Il faut absolument comprendre que lorsque l'on parle d'égalité, on n’insinue pas que tous les humains ont la même apparence ou la même force physique (dans ce cas il faudrait accepter le racisme et toutes les autres sortes de discriminations par exemple). Mais plutôt, les mêmes droits et devoirs. Et plus précisément pour nous disciples de Jésus, les mêmes droits et devoirs en tant que rachetés/soldats enrôlés dans l'armée du Grand Roi. Et cette mauvaise compréhension des choses est malheureusement entretenue par de nombreux frères et sœurs.
En effet, Sa Parole nous instruit sur un fait essentiel, celui de la JUSTICE (équité, réciprocité ...) qu'exige l'Amour SELON LE SEIGNEUR (C'est pourquoi, nous pouvons lire :"Pratiquer la justice et le droit est pour YHWH préférable au sacrifice." Proverbes 21 : 3).
Et donc, le passage qui suit n'est pas souvent utilisé lorsque l'on enseigne sur le mariage et notamment, que beaucoup d'hommes (mais aussi beaucoup de femmes) n'intègrent pas comme une pratique courante dans le foyer. Matthieu 7 : 12 "Tout ce que vous voulez que les gens fassent pour vous, faites-le de même pour eux, car c'est la torah et les prophètes.", qui rejoint le passage de Romains 13 : 9 "(...) tu aimeras ton prochain comme toi même", et par conséquent, qui nous permettent de mieux comprendre ce passage d'Ephesiens 5 : 28 "(...) celui qui aime sa femme s'aime lui même". Si l'on comprend littéralement le passage de Matthieu 7 : 12, cela s'applique à tout le monde, et relié à Éphesiens 5 : 28, on pourrait aussi le lire, dans le cadre du mariage, "ce que vous voulez que votre époux(se) fasse pour vous, faites-le de même pour lui/elle". "Ce que tu aimerais pour ton propre corps, procède de la même façon pour ce qui concerne ta femme."
Ce qui nous échappe lorsque nous appréhendons Ephésiens 5 sur le mariage c'est de comprendre que lorsque la Bible parle de Yehoshoua et l'Eglise, c'est parce qu'il s'agit fondamentalement d’une RELATION D'AMOUR, pas de dominant et de dominé, pas du commandant et du commandé, pas de celui qui est en dessous et celui qui est au-dessus, pas de l'enseignant et de l'élève. Il n'en était pas ainsi au commencement ! C'est d'ailleurs pourquoi ce chapitre d'Éphesiens 5 débute ainsi :"Devenez donc imitateurs d'Elohîm, comme des enfants bien-aimés,2 ET MARCHEZ DANS L'AMOUR de même que le Mashiah nous a aimés (...)". L'aviez vous pris en compte ?
Ma mère m'a donné un enseignement il y a longtemps déjà et je vais peut-être en choquer beaucoup, en soulignant quelques lignes ici. Vous savez quoi ? Nous sommes tous à la fois époux et épouse. Époux parce que nous avons l'Esprit de l'Époux (Le fils) en nous et épouse parce que nous sommes tous membres de son Église qui est son Épouse.
Soeur, au même titre que toi, ton mari est une épouse, toi, homme tu es l'Épouse de Yehoshoua en tant que membre de son Église. Toi sœur, au même titre que ton mari, tu es revêtue de l'Esprit de l'Époux (Yehoshoua). Ainsi, le Seigneur a signifié que c'est l'une des raisons pour laquelle avant le verset 22 d'Ephesiens 5 à partir duquel l'Apôtre Paul nous entretient sur le mariage, nous pouvons lire au verset 21 :"vous soumettant les uns aux autres dans la crainte d'Elohîm". Il ne s'agit pas simplement de la soumission que nous devons à plus âgées en signe de respect, mais bien parce que nous tous qui sommes revêtus de son Esprit, nous sommes appelés d'une façon ou d'une autre à exercer cette autorité que nous confère son Esprit par notre nouvelle identité ; Et cela d'autant plus, que son Esprit en nous, est celui qui triomphe sur les limites que relèvent notre humanité, determiné par le genre et les aptitudes physiques.
Mon frère (ma soeur qui n'avait pas compris), as-tu observé le traitement que donne Yehoshoua à toi son épouse ? Si tu te rends compte de l'exigence que requiert la position de l'Époux, je te prierai de faire preuve de beaucoup de compassion pour ton épouse ! Parce que, toi, épouse de Yehoshoua, tu es traitée avec tous les égards, il t'appelle, "perle de prix", "prunelle de ces yeux", il te comble d'amour afin que tu sois toujours en mesure de faire ce qu'il attend de toi. Est-ce ainsi que tu agis avec l'épouse qu'il a mis à tes cotés ? Où est-elle tout juste ta femme à tout faire, celle qui va enfanter ta progéniture, et celle qui te permet d'avoir des relations intimes licites ?
Si nous prenons les choses à la base selon l'Esprit, le Seigneur nous enseigne que le plus grand est celui qui sert les autres, ce qui est souvent le contraire de ce que nous comprenons et observons quand il en vient de la vie quotidienne du foyer. C'est la désobéissance qui nous a conduit à cela, ne l'avez-vous pas encore compris ? Et donc, que l'obéissance nous ramène à ce qui avait été établit à l'origine ou plutôt, au plan initial d'Elohîm, quand le coeur de l'homme n'était pas infecté par le péché.
Quand Il les créa (les deux), c'était à son image (Genèse 1 : 26-27). Il ne s'agit pas de l'image sur la base du genre, ou de la simple apparence physique mais, de l'Esprit qui les animait car, il nous est précisé une chose,"Elohîm est Esprit" (Jean 4 : 24). C'est son Esprit qu'il a insufflé à l'homme et, notre ressemblance à lui relève de ce qui est au dedans de nous et non de ce qui est exposé à la vue. Si nous nous alignons sur cette base d'apparence physique, qui aurait l'apparence la plus ressemblante ? Je ne parle pas ici des oeuvres de la foi mais bien de l'aspect physique de l'humain. Car, hommes et femmes sans distinction, malgré leurs différences physiques, sont créés à l'origine, à l'image d'Elohîm.
"Et YHWH Elohîm dit : Il n'est pas bon que l'être humain soit seul. Je lui ferai une aide qui soit son vis-à-vis" Genèse 2 : 18 (BYM)
Ainsi, Genèse 2:18 nous parle de l'initiative de YHWH (en créant la femme) de créer un vis à vis à l'homme, cela signifie donc qu'ils sont similaires, seul le genre les différencie. Celui qui les crée ne qualifie aucun comme inférieur à l’autre. Vis à vis, étant la meilleure traduction puisqu'elle est fidèle au terme hébreux neged qui à pour sens "en face de", comme l'image que nous renvoie un miroir et non "en dessous de" ou "derrière de" comme beaucoup préfèrent ou s'obstinent à le comprendre. Le passage d'Ecclésiale 4 est un repère de choix, dans la compréhension de la pensée d'Elohîm sur ce passage de Genèse, je nous laisserai le méditer, Ecclésiaste 4 : 9-12.
Lorsque le Seigneur veut qu'on se marie entre chrétien, c'est à dire, entre deux épouses de Yehoshoua, c'est à dire, deux personnes en total soumission à leur Époux, Yéhoshoua, LUI qui reste l'Époux et le Chef de chacun d'eux, c'est parce que cela implique que chacun des membres du couple a compris ces choses et qu'ils sont disposés à agir ainsi. Mais quand les gens ont la connaissance plus qu'ils ont le coeur selon le Seigneur, forcément on trouve beaucoup de mariage en péril et des foyers en déroutes. Car, si la Bible dit que l'homme est le chef de la femme, elle n'a pas fait moins en démontrant en la personne de Yehohoua ce qu'est un chef ! Il n'a pas revendiqué la place de chef (Philippiens 2:5-11), Il l'a été en donnant Sa Vie. IL Est le premier à s'être soumis, le premier à avoir obéi jusqu'au don de Sa Vie, Il Est le premier en TOUT (Colossiens 3 : 18) parce qu'IL est LA Référence et, Il est LE Chemin parce qu'un chef est aussi celui qui montre le chemin. Mais la plupart des enseignements que j'ai entendu à ce sujet, prêchés par des femmes comme par des hommes, semblent aujourd'hui vouloir donner la responsabilité à la femme de montrer le chemin et d'être le modèle de sa maison et après on parle d'insoumission. Et d'ailleurs à ce propos, il est à retenir que, le Seigneur ne laissera pas une maison aller à la dérive parce que l'homme ne fait pas ce qui est attendu de lui, si, la femme Le craint et est disposée, elle, à marcher sous Ses instructions. Comme à l'époque de Déborah, il suscitera des femmes s'il n'y a pas d'hommes visionnaires. Lui qui Est capable de susciter/de faire crier des pierres (Luc 19 : 40), ne le ferait-il pas ? Beaucoup d'hommes et de femmes prennent pour référence 1 Corinthiens 14:34 pour faire taire les femmes. Comme dit plus haut, pensez-vous que les écritures se contredisent ? Si quand vous lisez votre Bible vous soulignez certains passages et prenez le pas d'en ignorer d'autres, vous serez dans la confusion ! En effet, de prime abord, on a l'impression quelle dit une chose et ensuite son contraire.
Assurément, si l'on peut faire taire une femme, peut-on faire taire l'Esprit de Yehoshoua qui est dans la femme ? ou peut être L'Esprit de Yehoshoua dans la femme est muet, inactif ?
Je nous en prie comprenons les choses dans l'Esprit, "la lettre tue" !
À ceux qui risqueront de prendre ce texte comme du féminisme, allons lire/relire Joël 3, et ainsi prier en ayant en sa pensée Luc 11 : 13.
Elohîm en est l'auteur ! C'est Lui, par son Esprit qui vit et agit au travers de nous, comme au travers de vase, car toutes choses sont faites par son moyen et pour Lui. Il regarde au coeur pas au genre !! Ce qui garanti son action au travers de nous (hommes comme femmes) c'est la sainteté et non le fait d'être du genre masculin.
Nous sommes pourtant censés vivre les prémices du ciel sur cette terre par notre consécration et cela passe par la précision qu'apporte le passage de l'apôtre Paul, Galates 3:26-29 (A méditer), mais qu'en est-il réellement ?
Pourquoi est-ce d'une telle importance ?
Cette réserve émis par l'Apôtre Paul en 1 Corinthiens 7 : 32-35 nous démontre que, votre mari ou votre épouse peut devenir un sujet de distraction à votre dévotion à cause de l'énergie que vous déployez sans cesse pour lui plaire, ce qui en plus de vous garder dans la chair, fait obstacle à la marche par l'Esprit. C'est pourquoi, il n'encourageait pas les gens à se marier, certainement qu'il avait fait le même constat que moi, que les gens dans le couple, avec l'encouragement d'autres étaient conduit à chercher sans cesse à se plaire ou à se séduire. L'arrière pensée étant qu'il faut que la femme reste un objet de désir pour son mari et il faut que le mari reste un objet d'admiration pour sa femme afin que chacun trouve contiuellement satisfaction dans le foyer. Le resultat était/est que cela les détournait du réel but de leur vie de disciple, de leur engagement envers le Berger de leur âme et notamment, de l'instrument qu'ils sont dans les mains du Mashiah pour le Salut des âmes et en l'occurence de l'un comme de l'autre.
On veut tellement plaire à l'autre qu'on va éviter à tout prix de le contrarier, d'être en désaccord avec lui ou de s'opposer à lui etc. Sachons que, lorsque nous prenons position (sous instruction du Seigneur, Bien entendu !), ce n'est pas contre la chair et le sang (qui n'est que notre habitation physique), ni contre l'âme de cette personne, mais plutôt contre les ennemis d'Elohîm c'est à dire l'homme charnel et les principautés du monde des ténèbres. Et donc lorsque l'on ne s'accorde pas avec le Seigneur pour oeuvrer ainsi dans la vie de l'un comme de l'autre, l'on se soustrait à notre devoir de disciple, car "nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang" et le risque du mariage est de se contenter de voir l'autre comme quelqu'un envers qui nous n'avons que des devoirs conjugaux et d'éteindre notre discernement dans le but de se créer une harmonie, qui va en réalité n'être que superficielle, une zone de confort éphémère.
Nous semblons souvent omettre un fait essentiel que l'on soit jeune marié ou marié depuis un moment, à savoir, ce n'est plus nous qui vivons mais c'est LE Mashiah qui vit en nous. Nous ne faisons plus ce que nous voulons de notre corps ou de notre vie car c'est un autre, Yehoshoua, qui en a désormais la Seigneurie. À cet effet, nous devenons exclusivement des instruments dans Sa Main, et être marié n'est pas pour Lui un obstacle, puisque tous les coeurs sont dans Sa main et Il les incline comme Il veut (Proverbes 21 : 1).
Mari, femme, tu demeures un instrument dans la main d'Elohîm, qui peut se servir de l'un ou de l'autre comme d'un instrument pour le perfectionnement de chacun (Proverbes 27 : 17). Les situations du couple peuvent être des outils pour le Seigneur pour éprouver notre amour, notre obéissance pour Lui, afin d'exposer nos coeurs, afin de dévoiler le péché dans nos vies de couple ou individuelles, afin de révéler des portes ouvertes au malin, pour nous corriger, nous mettre en garde etc. Le Seigneur peut endurcir le coeur de ton mari pour un court moment afin de te réveiller, le Seigneur peut enlever tout désir de relation intime à ta femme pour briser l'homme charnel etc. (encore une fois, être marié ne nous exempte pas par exemple, de développer la maîtrise de soi et cela dans tous les domaines).
Il a dit au peuple d'Israël dans Deuteronome 8 qu'il les a fait mourir de faim, puis les avait nourris de la manne afin qu'ils comprennent que l'homme ne vivra pas de pain seulement mais de tout ce qui sort de Sa bouche. Ses épreuves avaient aussi servi à révéler le véritable état de leur coeur.
L'oeuvre que le Seigneur a commencé dans nos vies au moment de notre conversion ne s'achève pas le jour de notre mariage, au contraire, elle se corse ! l'Apôtre Paul nous en averti brièvement 1 Corinthiens 7 : 28, mais celui qui en révèle le plus la difficulté est ce passage de 1 Corinthiens 7 : 29 "Mais je vous dis ceci, frères : Le temps est court. Désormais, que ceux qui ont des femmes soient comme n'en ayant pas". Cela veut-il dire que nous devons négliger nos foyers, nos femmes, nos maris ? NON ! Il faut y voir un conseil, presqu'un avertissement à ce que jamais l'exclusivité que demande l'engagement du mariage ne nous dérobe/distrait/soustrait de l'exclusivité suprême qu'exige notre engament envers le Seigneur, l'Epoux de chacun de nous.
Pratiquement !!!
J'ai un frère qui a été très sage un jour, un mari se plaignant de sa femme disait qu'elle ne voulait pas repasser ses vêtements et le frère à demander au mari "est-ce que toi tu pourrais repasser les vêtements de ta femme ? Ce mari avait au moins eu l'honnêteté de répondre "NON". Avez-vous discerné l'état de coeur de ce mari, qui réclame de sa femme mais qui n'est pas en mesure de produire la chose qu'il réclame à l'égard de cette femme ? Cette situation dont il se plaint agi comme un révélateur, s'il n'y avait pas eu se frère pour lui poser la question, il y aurait eu un frère ou une soeur qui se serait contenté de dire à cette femme, "soeur, il faut repasser les vêtements de ton mari, c'est ton rôle", et ça se serait clôturé là. Afin d'éviter toutes amalgames, il ne s'agit pas ici d'encourager le péché ou la rébellion contre des éventuels méchants maris (ou épouse d'ailleurs), nous pouvons faire semblant devant les hommes, mais notre attitude de coeur n'échappe pas au Seigneur. Si un homme ou une femme veut prétexter agir au nom d'Elohîm pour mal agir, il en recevra sa récompense. Il y a toujours eu des hypocrites dans les assemblées et ce, depuis toujours, cela ne doit pas nous mener à faire de ces cas des généralités, et nous empêcher de precher la Vérité, sinon c'est dans la chair que nous agissons à notre tour.
Ce qu'il y a comprendre est que, même dans le cadre du mariage, Elohîm continue de faire" travailler toutes choses à notre bien" (Romains 8 : 28-29), et cela passe aussi par l'action consciente et inconsciente de notre époux(se). Le but étant notre ressemblance parfaite à Yéhoshoua et non, la satisfaction personnelle d’elle ou il. L'enjeux n'est pas non plus au niveau de la simple stabilité émotionnelle ou du bien être psychologique de chacun etc. L'Apôtre Paul qualifie le mariage de "mystère", arrêtons de le cantonner au domaine de la chair et du sang. L'acte physique qui relève de l'intimité du mariage, révèle la conséquence spirituelle de notre intimité avec le Seigneur, notre connaissance profonde de Lui, notre unité en Lui et le fait que pour enfanter des choses qui ont son "ADN", qui sont de Lui, il faut le connaître et faire UN avec Lui. Il ne s'agit plus ici du simple domaine de notre apparence physique ou de ce qui est exposé à la vue !
Ainsi, pour revenir à la petite anecdote pris en exemple précédemment, voyez-vous il y a une réciprocité dans ce couple que vous formez ou formerez qu'il est nécessaire de comprendre quelqu'en soit le domaine, le mariage selon Yehoshoua n'est pas dénué de Justice. Ce n'est pas une affaire d'obligations et de devoirs, parce que tout d'abord, il s'agit comme dit plus haut d'une relation d'amour, tout ce qui est fait entre Le Mashiah et son Eglise à pour fondement l'Amour. Il a, Lui d'abord manifesté l'Amour et l'Eglise répond à cet amour ou plutôt aime à son tour en se soumettant.
Lorsqu'il y a conflit dans un couple, cela résulte souvent du fait que chacun ou l'un, a négligé son intimité avec l'Epoux et/ou a cessé de Lui être soumis dans un domaine ou un autre. Cela doit nous alerter en tant que disciple du Mashiah car, que l'on soit marié, ne justifie pas que, quoique ce soit prenne SA place, ou qu'en dehors de lui nous ayons une autre priorité et même plus une autre autorité. Même notre service dans le foyer, dont Il Est le prescripteur ne peut se justifier à cet égard de prévaloir sur Lui (À méditer Matthieu 10 : 37, Marc 10 : 28-30). C'est Lui seul qui est le garant de la paix, de la joie, de l'amour dans notre foyer. ET s'il ne demeure pas à Sa place de Souverain, nous ne sommes plus assurés de rien.
Il est également à souligner que nous sommes appelés à marcher par l'Esprit donc à demeurer dépendant de ces instructions pour vivre et agir, veillons à ne pas nous laisser distraire et surpasser par nos engagements conjugaux. Veillons également à rester alerte et à l'écoute dans l'Esprit au risque de ne pas saisir et donc d'agir ou parler à tort c'est à dire hors instructions, donc dans la chair, car, tous ce qui sera fait dans la chair aura pour résultat la chair, la mort spirituelle et/ou peut être physique.
Et de plus, dans la chair nous continuons à subir le préjudice de la malédiction donné par le Seigneur à Adam et Eve après la désobéissance. Par conséquent, femme, tant que tu t'appuieras sur la chair pour agir dans ton foyer, tes désirs se porteront sur ton mari, il dominera sur toi, et jamais tu ne seras heureuse. Car, dans la personne de l'homme charnel, assujetti au péché, nous sommes soumis à la vanité (Genèse 3 : 14). En effet, Il n'y a que la nouvelle naissance, la connaissance de la Vérité et la marche par l'Esprit, qui nous en affranchi. C'est pourquoi quand tu marcheras par l'Esprit, tes désirs se porteront sur l'Époux, Yéhoshoua, et c'est Lui qui régnera sur toi, ces instructions seront des ordres ! Et tu trouveras ton bonheur, ta paix, dans l'action que tu mèneras par Lui et pour Lui.
C'est ainsi que l'on reconnaît également un homme qui agit dans la chair, parce qu'il cherchera continuellement, sur la base de cette malédiction, à dominer sur sa femme et à ce qu'elle lui soit, à lui, soumise. Parce qu'en réalité, il n'a pas à chercher à ce que sa femme lui soit soumise, l'instruction de la soumission vient du Seigneur et pas de la volonté de l'homme. La volonté du Seigneur est que tous lui soient soumis. L'instruction c'est la soumission au Seigneur, et c'est sous la gouvernance de son Esprit, dans l'ordre et les limites qu'il à établit que nous pouvons nous soumettre à qui de droit ("l'esprit du prophète est soumis au Prophète"). C'est pourquoi, cet homme-là, désirera que sa femme se soumette au Seigneur plutôt qu'à lui, car une femme soumise au Seigneur saura se soumettre à ce mari-là. Et donc un homme qui marchera dans l'Esprit aura en lui les désirs du Mashiah car le Mashiah régnera sur Lui.
Et un foyer dans lequel Yéhoshoua règne, est un foyer dans lequel Yéhoshoua est Seigneur et dans lequel il y a abondance de ceci : Galates 5 (BYM)
22. "Mais le fruit de l'Esprit c'est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la foi, la douceur, le contrôle de soi." Et plus encore, Alléluia !!
Car quand nous Marchons dans la chair, nous accomplissons la volonté humaine et nous sommes ennemi d'Elohîm, mais quand nous Marchons par l'Esprit, nous accomplissons la volonté divine, et nous glorifions son nom.
Que ferons-nous ?
Nous nous trompons parce que nous pensons que l'amour dont il est fait mention en ce qui concerne la relation maritale est alimenté principalement par l'action de l'un à l'autre. Et cette pratique est répandue dans les assemblées parce que, lorsque l'on parle "des plus âgées qui doivent apprendre aux plus jeunes à aimer leur maris", on y entend prioritairement des conseils qui relèvent de la vie conjugale etc.
En vérité vous ne pouvez pas apprendre quelqu'un à aimer son mari, si vous n'avez pas vérifier qu'elle sait comment aimer L'Époux des époux, Yehoshoua. Car, l'amour selon Yehoshoua à des prérequis qui ne sont pas du domaine de la chair. Elle ne peut véritablement l'aimer qu'en l'aimant selon Yehoshoua, en dehors de ça ce n'est pas aimer. Pour aimer, il faut connaître l'amour et l'amour n'est pas un sentiment. Celui qui ne "connait" pas Yehoshoua est incapable d'aimer.
Il y a un enseignement fondamental de notre foi chrétienne qui demeure dans les écrits de l'épitres aux Hébreux, signifiant que : "les choses qui se voient, proviennent de celles qui ne sont pas exposées à la vue". Souvent, ces enseignements qui sont certes pratiques et nécessaires font abstractions aux enseignements qui relèvent du domaine de "ce qui n'est pas exposé à la vue", car, aimer son mari comme signifié plus haut ne se limitera pas qu'à lui dresser une table parfaite, à ne pas se refuser à lui ou à faire parfaitement le pli de ses pantalons etc. Aimer notre mari sera aussi/surtout, aimer son âme, en intercédant pour lui et en prenant position face à lui, quand le Seigneur nous conduira à le faire, sans craindre de lui déplaire et même si cela nous vaut d'être cataloguée d'insoumise, Yehoshoua étant LE SEUL à qui nous nous soumettons sans condition, je nous le rappelle.
Le monde à beaucoup de principes en matière de mariage que l'on peut difficilement réprimander, beaucoup de femmes savent faire des choses qu'ont ne leur a pas apprise dans l'assemblée et qui ressemblent à la soumission selon que Sa Parole nous l'enseigne. Pourtant on s'adresse bien aux femmes âgées au sein de l’assemblée, parce que, celle qui craignent le Seigneur auront le discernement et la maturité de vous guider de sorte que le Seigneur soit celui que vous chercher à plaire dans toute votre conduite, et pas seulement l'homme en face de vous qui comme vous doit travailler à son Salut. Et, l'Esprit ne vous utilisera pas toujours dans des postures qui seront confortables pour l'un comme pour l'autre. Mais, toutes les situations seront là pour nous apprendre à nous soumettre davantage à Elohîm et à mourir afin que Lui vive. N'oublions pas que la finalité ici bas c'est d'abord la ressemblance au fils et ensuite l'Eternité.
Pour le monde, le mariage est un échange de bons procédés, on s'offre des présents en échange du bien être que cela va nous procurer ou de la récompense que l'on va tirer de la part de chacun. Et quand il n'y a plus d'échange quelqu'en soit la forme, tout s'arrête. Beaucoup veulent imiter le monde et c'est pourquoi ils sont malheureux, parce qu'ils ne comprennent pas que l'échange se fait entre le Seigneur et chacun essentiellement. C'est parce que chacun sera alimenté par la source qu'est le Seigneur que chaque personne sera capable de faire ce qu'il faut dans l'amour.
Tant que Yehoshoua est celui qui vit en nous et qu'Il détient tous les droits dans nos coeurs nous serons capable d'aimer et d'agir, sans que jamais le soupçon nous pousse à nous éconduire.
"Il n'y a pas plus grand amour que celui qui donne sa vie" et Lui qui nous a aimé jusqu'à donner sa vie, nous corrige, nous réprimande, nous prive de certaines choses, pourtant, il n'y a pas de confusion sur le fait qu'il nous aime inconditionnellement (enfin, pour ceux qui le comprenne). Ainsi, s'il y a questionnement (doute, remise en cause) sur l'amour et ses manifestations au sein du couple c'est que Yehoshoua n'est pas à la place qu'il faut, nous ne pouvons pas faire comme il faut sans son impulsion.
Lorsque l'on aime comme le Seigneur, l'âme de l'autre est précieuse pour nous, comme elle l'est aux yeux du Seigneur. C'est ça véritablement aimer, toute notre action doit principalement avoir attrait à préserver le Salut de l'âme de l'autre et être motiver par le désir profond de le voir entrer dans les plans d'Elohîm pour sa vie. Comme dit précédemment, nous devons veiller à ne pas manquer de jouer notre rôle de disciple dans la vie de notre époux(se), comme nous sommes souvent amenés à le faire dans la vie de frères et soeurs au sein de l'assemblée d’Église.
Par conséquent, si chacun a pour principal objectif de plaire au Seigneur et donc est alimenté par son amour, on aura difficilement à dire à un homme qu'il doit aimer sa femme de telle ou telle façon (achète lui des fleurs, amène-la au restaurant etc), ni à une femme qu'elle doit respecter son mari de telle ou telle façon (ne te refuse pas à ton mari...). Le meilleur conseil à mon sens étant de dire aux gens de communiquer, d'être rempli du Saint Esprit et de faire confiance à son instruction car, par son omniscience, Lui seul sait ce qui est parfait pour tous et à quel moment. Il n'y a que lui qui soit indispensable.
"Toutes choses continuent de travailler pour le bien de ceux qui l'aiment" même mariés. Ne nous opposons pas à l'action qu'il à mener dans la vie de l'autre, car en cherchant constamment à se plaire, nous allons manquer de plaire à Elohîm en désamorçant l’instruction du Seigneur qui nous mènerait à la réprimande ou à faire preuve de fermeté sur un propos, parce que nous craindrons de ne pas jouer le bon rôle.
Dans la relation de couple, ce qui est rassurant ce n'est pas de savoir que mon mari serait prêt à donner sa vie pour moi, Le Mashiah l'a déjà fait Ce qui est important ce n'est pas que ma femme me soit incontestablement soumise. C'est de se rendre compte de la fidélité au Mashiah de chacun, de l'autorité souveraine qu'IL EST dans sa vie, et par conséquent de voir qu'il fait et fera toujours le choix de YHWH, quel qu'en soit le prix et même si ce choix doit déplaire à l'autre. Le meilleur exemple ici est peut-être celui du père de la foi à qui le Seigneur avait demandé Isaac comme offrande. Lorsqu'il a demandé Isaac à Abraham, Il ne "s'est pas préoccupé" de ce qu'allait en penser Sarah. Nous n'avons d'ailleurs pas de détails sur ce qui a été dit à Sarah à ce propos. Ce n'était pas l'épreuve d'Abraham et de Sarah, bien que ce fut leur enfant à tous les deux, c'était l'épreuve d'Abraham SEUL ! Être marié ne signifie pas que le Seigneur ne peut pas nous solliciter individuellement. Et c'est pourquoi beaucoup arrêtent de progresser après leur mariage, parce qu'ils pensent ne plus être qu'au service de leur époux/se et des enfants, comme si leur service au Seigneur ne se limitait plus qu'à ça (Gardons en mémoire les paroles de l'Apôtre Paul 1 Corinthiens 7 : 32-35) !
En faite, l'on ne dit pas assez aux gens que leur fidélité à YHWH peut leur faire perdre TOUT (n'allez pas tordre mes mots je ne parle pas de divorce ici). L'évangile qui est prêché de nos jours privilégie de faire savoir aux gens ce qu'ils ont à gagner par Yehoshoua en omettant de leur dire ce qu'ils auront à (pourront) perdre pour le suivre (Matthieu 16:24-28, Luc 9 : 23-27).
Dans notre marche de disciple, notre obéissance nous conduit à faire des choix et souvent nous pouvons en chemin perdre des amitiés, des biens etc. Pour le Salut de notre âme. Et quand nous nous marions, les enjeux restent les mêmes ! Veillons à nous en Souvenir !
La soumission (comme au Seigneur) que nous devons à notre mari ne signifie pas qu'il a, la même place que le Seigneur dans notre coeur, Jamais !!!! et que sa volonté, ses désirs l'emportent sur celles du Mashiah !!! Cette soumission comprenons-le !! n'est possible que tant que la soumission, la dévotion, la révérence, que nous devons au Seigneur n'est pas bafouée et que l'Autorité Suprême qu'il est/a dans nos vies n'est pas remise en cause.
Comme exemple, la femme de Job lui avait demandé de maudire Elohîm, la Bible nous parle de deux dans un lit, un qui est enlevé à la rencontre de L'Époux et l'autre pas. Ainsi, bien qu'étant marié nous n'avons pas une relation de groupe avec le Seigneur, nous continuons à être responsable de notre âme individuellement, et à être revêtu du Seigneur pour l'oeuvre qu'il a prévu à l'avance pour chacun indépendamment de l'autre et bien sûr, pour le couple. Dans le foyer et à l'extérieur.
Quelques éclaircissements
Suite à certaines prises de positions dans ces écrits, certain(ne)s souhaiteront faire référence à Sarah qui appelait Abraham "mon Seigneur". Vous savez pourquoi elle l'appelait ainsi ? Parce qu'elle voyait YHWH en lui, ce qui veut dire que, Abraham par son obéissance et sa soumission à YHWH lui avait complètement laissé la place. Rappelons-nous qu'il n'y a qu'un seul qui a été appelé père de la foi et c'est Abraham. Avant de vouloir être au bénéfice de ses bénédictions, commençons par imiter sa foi et son obéissance !
Il est également à souligner qu'Abraham n'avait certainement pas demandé à Sarah de l'appeler ainsi (cela n'est mentionné nulle part dans les écritures, et même s'il l'avait fait cela aurait été en toute légitimité), ni même exigé d'elle qu'elle lui soit soumise, mais plutôt, il a été un modèle, c'est lui qui a enseigné la soumission à Sarah, et de quelle façon ? En se soumettant lui même à Elohîm, sans rien garder, il lui avait offert ce qu'il avait de plus cher.
Quelques uns souhaiteraient faire référence au passage de l'Apôtre pierre.
Comme dit plus haut, il ne s'agit pas de chercher à plaire à son mari pour arriver à le séduire afin de le gagner à notre cause, et qu'il fasse ce qui nous est agréable. Ce mari rebelle ou païen est une âme à sauver. Ce qui nous ait demandé, est de continuer à servir Elohîm, à agir justement et dans la crainte de YHWH à qui nous devons notre dévotion face à ce mari. Et, Lui qui change, touche les coeurs, grâce à notre fidélité et donc à notre foi se chargera de sauver cette âme pour qui il a donné Sa Vie.
Comprenons bien, que nous ne voulons pas gagner cet homme à nous afin qu'il soit plus facile à aimer, que ça soit moins pénible de le servir, ou pour qu'il nous traite avec les égards, mais plutôt qu'il soit gagné au Seigneur. Cela veut donc dire que c'est possible qu'en constatant notre fidélité au Seigneur, surtout dans l'épreuve qu'il est devenu pour nous, il en soit touché et que cela le mène à la repentance.
À savoir tout de même que le coeur de cet homme-là, n'est pas différent de ceux dont le Seigneur a fait état dans la Parabole du Semeur, le choix de suivre le Seigneur revient toujours aux personnes elles mêmes (Apocalypse 3:20), jamais personne n'est contraint à Le suivre, mais, grâce à notre fidélité une brèche peut être créée dans un coeur pour laisser entrer le Seigneur, autant qu'à cause de notre infidélité, nous pouvons mener un coeur à s'endurcir et à s'éloigner davantage du Seigneur. C'est cela sur quoi l'Apôtre Pierre nous interpelle, c'est certainement une femme qui l'avait interrogé à ce sujet, c'est pourquoi, il parle en mentionnant en premier lieu la femme, mais, il est évident que ce passage s'adresse aussi à un homme dont la femme serait rebelle ou païenne.
Certaines femmes sont malheureuses, parce qu'elles vont jusqu'a compromission pour plaire à leur mari, elles usent de stratagèmes infructueux, parce qu'elles n'ont pas compris que ce n'est pas à eux qu'il faut plaire mais à YHWH et c'est lui seul qui est capable de ramener celui qui était en votre défaveur et même votre ennemi en votre faveur (Proverbes 16:7), surtout, qui sauve les âmes, Alléluia !!! Elles se retrouvent donc à cause de leur compromission, elles-mêmes, éloignées du Seigneur.
Le mot de la fin
En effet, la plupart des conseils donnés, ne sont en faite que le résultat de ce qui doit être et non le moyen, le moyen étant Le Seigneur Lui même.
De nos jours, nous l'observons, un homme peut savoir mieux cuisiner que sa femme (il ya des hommes qui ont pour métier, Chef de cuisine ou maitre d'hôtel...) et être celui qui lui enseigne à le faire, on va considérer ça comme un échec pour cette femme? un homme peu être plus ordonné que sa femme, il peut tenir une maison et le faire encore mieux que sa femme, doit-on lui rappelé que ce n'est pas son rôle ? faut-il à cet effet réprimander son épouse ? et pour quelle raison ? c'est là, une cause de répudiation ? Ne le fait-il pas dans l'amour?
Un homme ne peut-il pas recevoir une instruction d'Elohîm par sa femme, qui est autant que lui revêtu du Saint Esprit ? Lui est-il interdit de porter des visions concernant le couple ? Encore une fois n'a-t-elle pas reçu l'Esprit du Seigneur qui lui confère des dons des talents et qui lui donne de l'intelligence ?? Et non ! Ses talents ne sont pas uniquement liés à la tenu de la maison et à l'éducation des enfants. Galates 3 : 26-29, Ecclesiaste 4 : 9.
Le Seigneur a dit une chose, c'est la dureté du cœur qui est la cause des problèmes de couple et donc du divorce. Les gens mettent sur le coup de la distribution des taches et des propos de l'Apôtre Paul leur manque d'amour, ou plutôt leur incapacité à aimer comme Yehoshoua et donc, le fait qu'il soit encore sous le coup de la malédiction à cause de la chair qui a emprise sur eux. Parce que si on aime l'autre, la Bible nous fait entendre que c'est l'amour qui triomphe, on agit donc avec l'autre comme on aimerait qu'on fasse pour nous ! Pourquoi la plus grande des choses c'est l'amour en référence à 1 Corinthiens 13:13, parce qu'il ne s'agit pas du sentiment qu'il nous semble ne plus ressentir lorsque nous pensons subir une injustice au sein du couple, mais, cet Amour, c'est la personne même de Yehoshoua, car Il Est la personnification de l'Amour Agape.
Enfin, ne vous y trompez pas je ne parle pas ici des rôles dans l'assemblée locale, là n'est pas mon propos du jour.
Comme dit plus haut il s'agit d'une relation d'amour, qui plus est, de deux personnes qui n'en forme plus qu'une (Selon YHWH). Je parle du quotidien et de l'action d'Elohîm dans la vie de chaque individu dans le foyer. Nos quotidiens qui sont si différents et dont aucun aspect n'échappe au Seigneur. Je parle de Lui comme le Maître de tous les hommes et de toutes les femmes, je parle de Lui qui est l'Amour, qui enseigne l'amour, et qui est le chemin de l'amour. Je parle de celui qui ne se contente pas de juger une action, sans tenir compte de l'état du coeur. Et surtout, je parle de Lui, qui fait sa demeure en nous et qui fait de nous des êtres non plus seulement fait de chair et de sang mais dont la vie spirituelle en eux triomphe de leur vie physique.
Un homme selon le coeur de Yehoshoua peut-il dire à sa femme qu'il ne peut pas faire telle ou telle autre chose (parlons des taches domestiques) parce que c'est à elle de le faire ? Une femme peut-elle dire à son mari qu'elle ne peut par exemple pas subvenir à des besoins pécuniaires dans le foyer parce que c'est à son mari de subvenir au besoin de la famille ? Lorsqu'il y a des naissances à la maison, pour les réveilles nocturnes ou pour tout autre soins, seule la femme doit s'en charger ? Vous me direz la question ne se pose pas, il faut tenir compte du contexte aussi, et oui, il ya un contexte aux paroles de l'apôtre Paul et ce qui n'est pas compris que le Saint Esprit nous l'enseigne.
Votre quotidien ne ressemble pas à celui de tout le monde et quand sa Parole vient à vous c'est d'abord par rapport à ce que vous vivez dans votre individualité. Ce qu'Il vous a fait comprendre à un moment donné, peut ne pas être valable pour un/une autre. Parce que, Lui qui sait toutes choses détient des informations bien plus profondes de la cause des choses qui nous échappent.
Il a toujours été la solution, mais, il n'a pas toujours utilisé la même méthode pour tous. Les familles dans lesquelles vous avez évolué peuvent être différentes, il y a de nombreux facteurs spirituels qui peuvent nous échapper, mais nous, nous voulons standardiser sa Parole et pire en la mélangeant avec les façons de faire païennes. C'est pourquoi nous échouons aussi souvent à véritablement aider des foyers en difficultés. Sachons discerner Ses instructions et les exécuter sans détour.
Comprenons, qu'il ne s’agit pas ici de remettre en cause le rôle de chacun, ni de plébisicté les femmes, mais plutôt de nous alerter et nous amener à réfléchir sur notre façon d’appréhender le mariage, de comprendre les notions d'égalité, d'équité, de Justice et d'Amour selon celui qui en est le prescripteur et le garant. Et surtout nous interpeller sur la vie par l'Esprit qui est désomais (censée être) la réalité de tout ceux qui se réclament être disciple de Yehoshoua, concernant tous les domaines de leur vie térrestre.
Yehoshoua est le chef de l’Eglise, et c’est un chef qui ne bronche pas qui n’a jamais cherché son intérêt, qui a aimé envers et contre tous. C’est un époux pour elle dont l’amour n’a aucune variation, sont coeur n’est que pureté à son égard, il est celui qui le premier l’a aimé c’est pourquoi « l’Eglise véritable » ne peut émettre aucune opposition ni résistance envers Lui. Il n’a pas exigé d’elle, mais, il lui a montré le chemin de la soumission en se soumettant lui même et en obéissant au père jusqu’a la mort sur la croix, et en mourant pour elle à la croix il lui a manifester l’amour dans son ultime degré.
Surtout, il est désormais celui qui vit en chacun de nous par son Esprit, c'est lui qui vit et qui règne sur notre être tout entier. Il nous communique ses pensées, ces désirs, sa vision etc. Et lorsque nous nous marions, il ne cesse pas de vivre en nous et d'être celui qui règne. L'engagement envers nos époux(se) ne nous rend pas indépendant de Lui au contraire. Cela veut donc dire qu'il ne demandera pas la permission à Mr ou à Mme s'il veut se servir de l'un ou de l'autre, c'est à nous de discerner ce qu'il fait et de nous aligner à sa volonté.
Nous aimons à dire, tout ce que nous sommes et que nous avons lui appartient, ce qui revient à dire qu'il en est le Maître absolu mais quand il en vient de le vivre pratiquement, c'est tout autre chose.
Ainsi, nous ne pouvons pas négliger notre intimité avec lui, ni la soumission, l’obéissance personnelle et individuelle, que nous lui devons, sous prétexte qu’il est aussi celui qui a institué le mariage et ces modes de fonctionnement car, il est la limite dans tout ce que nous faisons dans notre foyer et dans notre vie en générale.
N'oublions pas que toute notre vie est une oeuvre pour Lui et un service à Sa gloire, bien que nous soyons sur cette terre et que, comme tous les habitants de la terre nous avons des obligations qui nous mènent comme dans une sorte de routine sur laquelle nous pensons avoir le contrôle. Nous pensons donc qu'il y a des domaines de notre vie que nous devons gérer sans qu'Il ait à nous donner des instructions ou à intervenir. Ainsi, nous légitimons notre double personnalité, une ou nous sommes pleinement nous (donc charnel), avec laquelle nous décidons et gérons un certain nombre des aspects de nos vies comme cela nous convient (et nous nous étonnons de ne pas avoir la victoire). Et une, ou nous sommes Esprit, donc celui qui vit sous l'influence du Seigneur.
Cependant, comme dans les posts sur La Croix (ce n'est plus moi qui vis) appréhendés sur ce blog, nous devons définitivement comprendre qu'il ne peut y avoir de cohabitation. L'homme charnel meurt et l'homme nouveau dont nous parle Éphesiens qui vit pour faire la volonté du Père est celui que nous sommes désormais en l'image du Fils (Yehoshoua). Et ce fils, bien qu'ayant été soumis à des obligations terrestres comme nous aujourd'hui, et même dans son statut d'enfant avec des parents, sa mission ne ce limitait pas à cet environnement immédiat ni à être simplement le fils parfait de ses parents terrestre. Il a dû à un moment donné se dérober de ses différents rôles (qu'il remplissait sous la direction du Père) pour entrer dans celui de son "appel". Tout ça pour dire que l'appel d'une femme/épouse qui vit par l'Esprit, ne se limite pas qu'a sa mission au sein du foyer.
Il ne nous dira jamais de ne pas servir notre mari, mais si quand il nous veut à ses pieds ou dans un autre service et non dans le service du foyer nous ne savons pas discerner ou ne savons pas nous arrêter et continuons à servir au foyer croyant toujours être dans l’obéissance alors que nous serons déjà en train de pécher.
Tous ce que nous sommes est à lui, tous ce que nous avons est à lui, tout est une oeuvre pour lui. Même notre service pour lui ne peut passer avant lui. C’est lui qui nous dit quand s’arrêter et quand continuer, et il continue de le faire même quand nous sommes mariés. Chacun des membres du couple doit le comprendre, il ne nous demandera pas toujours de faire quelques choses en couple, ou lui obéir ne s'agira pas seulement de faire quelque chose pour son mari ou pour sa femme. Il est notre autorité et nous devons comprendre que nous ne pouvons pas outrepasser son autorité. C'est pourquoi l'un des principes fondamentaux de l'amour est qu'il bannit le soupçon et, c'est essentiel que la relation de mariage soit exempte de soupçon. Soit, nous avons des informations du Seigneur, et nous agissons en conséquence, soit nous sommes simplement en train de soupçonner l'autre d'agir mal et nous devenons un obstacle parce que nous sommes dans la chair. Dans ce cas nous n'avons que deux informateurs possibles ainsi que deux modes d'action possible, le Saint Esprit ou l'homme charnel qui est sous l’influence du malin. A ce stade une chose doit demeurer dans notre pensée Galates 5 : 25 "si nous vivons par l'Esprit, marchons aussi par l'Esprit".
A YHWH SEUL la Gloire
Votre Sœur.
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